Naufrage
Acrylique |
La tempête perdait de sa puissance, mais le voilier n’avait pas résisté : Il avait coulé, ballotté par les vagues déchaînées dont le courroux avait tout emporté !
Emportés le mât et les voiles déchiquetées, emportés tous les objets de leur traversée !
Acrylique |
Tel
un fétu fragile sur l’océan démonté, le voilier avait disparu
après s’être retourné ! Les deux amis, épuisés, aveuglés
par la force des éléments, ne devaient leur salut qu’à la
proximité de la grève sur laquelle ils avaient échoué ! Une
grève cernée de rochers pointus luisant de varech. Un lourd varech
glissant sur des murs aux profonds fondements auxquels leurs doigts
si froids, si maladroits, s’accrochèrent comme on s’accroche,
avec soulagement, à la vie, alors même que tout semblait fini !
Acrylique |
Et là, on attend la suite.
RépondreSupprimerBen pourquoi ne l'écrirais-tu pas Pol ? On pourrait procéder à une contribution collective, familiale. Chacun écrirait un bout...
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